L’inflation alimentaire n’a jamais eu autant d’impact sur la vie des Français que maintenant. En effet, plus de 16 % des Français ne mangent effectivement plus à leur faim, c’est un fait. La terrible hausse sur le coût de la vie est tellement grande qu’elle finit par impacter l’un des besoins les plus fondamentaux des Français, manger. En effet, les statistiques sur l’alimentation, dévoilées par du Crédoc, montrent clairement que ces affirmations sont vraies. Le moins qu’on puisse dire, c’est que la situation est grave.
Alimentation et inflation : des chiffres inquiétants !
Le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie ou Crédoc a effectivement réalisé des études inquiétantes. Ces études concernent l’impact de l’inflation des produits alimentaires sur le quotidien des Français. Et effectivement, plus de 16 % des Français ne mangent plus amplement. Pour comparer, cette valeur n’était que de 9 % pour l’année 2016. En 2022, 39 des Français pouvaient encore affirmer qu’ils pouvaient encore accéder à n’importe quel produit alimentaire qu’ils souhaitaient manger. Depuis, l’inflation s’était déchainée dans le pays. Aujourd’hui, seulement 10 % des Français peuvent encore confirmer de tels propos.
Plus de 24 % des 40 ans et plus souffrent d’une alimentation insuffisante, les Français ne mangent plus à leur faim!
En effet, c’est sans aucun doute le chiffre le plus inquiétant de cette étude faite par Crédoc. Plus de 24 % des quinquagénaires et plus souffrent effectivement d’une insuffisance alimentaire. Mais ce n’est pas tout. En effet, les jeunes étudiants font aussi face au même problème. Ainsi, les chiffres concernant cette fourchette d’âge sont encore plus élevés. Pour ce qui est du genre, les femmes seraient les plus touchées par le problème. En effet, 18 % des femmes, contre seulement 14 des hommes, souffrent actuellement d’une alimentation insuffisante.
Une inflation qui restreint le panier de course des Français !
Logiquement, ce sont effectivement les personnes avec les revenus les plus faibles qui subissent de plein fouet les effets de cette inflation. D’après les chiffres dévoilés par Les Échos, les 31 % des personnes souffrant de ce problème disposent effectivement de revenus faibles, contre 4 % seulement pour celles de la classe moyenne. Par la suite, de nombreuses études ont aussi prouvé que l’inflation globale des dépenses des ménages est aussi à l’origine de ce problème alimentaire. Entre les factures à payer, les frais de scolarités ainsi que les taxes, ce sont les frais alimentaires qui finissent toujours par être réduits afin de compenser les autres dépenses.
