Ayant reçu un nouvel intervenant, le plateau d’Affaire conclue s’était retrouvé avec une situation de crise. Sophie Davant et sa troupe continuent de faire parler d’elles sur France 2. Malgré des audiences qui connaissent des hauts et des bas, le programme arrive toutefois à plaire aux téléspectateurs. Le mardi 9 mai dernier, le programme était de retour sur France 2. Et ce,avec un tout nouvel acheteur. Malheureusement, les débuts de celui-ci ont causé quelques tensions sur le plateau de France 2.
Un autre acheteur rejoint l’équipe !
Dans l’émission de vente aux enchères, Sophie Davant s’entoure effectivement de nombreuses personnes. Pour mener à bien son émission, la présentatrice doit effectivement avoir une équipe complète à ses côtés. En dehors des régisseurs et des équipes techniques, elle doit aussi avoir des experts. Ce sont eux qui vont analyser les objets que les vendeurs vont présenter. Ils vont donc dévoiler les détails les plus intéressants concernant ces objets.
Et le plus important, ces experts vont aussi fixer la valeur de départ de l’objet avant les enchères. Ensuite, Sophie Davant dispose aussi de toute une armada d’acheteurs. Ce sont ces derniers qui vont animer les enchères et essayer de se procurer des objets rares. Après Ingrid Rinaudo, Léo Lefèvre et Marlène Boumendil, l’émission de France 2 va donc avoir un nouvel acheteur. Il s’agit de Georges Van Cauwenbergh. Il vient d’être présenté au public le mardi 9 mai dernier.
Affaire conclue : de nouvelles tensions sur le plateau du programme !
Pour une fois, l’équipe recrute donc une personne qui est encore assez jeune. Mais détrompez-vous, il ne s’agit pas d’un débutant. En effet, il est un véritable expert en la matière. D’ailleurs, Georges Van Cauwenbergh s’était tout de suite imposé face à ses camarades. Le lundi 15 mai dernier, le nouveau vendeur d’Affaire conclue avait fait une fixette sur un poêlon en céramique signé de Robert Picot.
Avec une valeur de départ fixée à 30 euros seulement, cet ustensile de cuisine a réussi à susciter l’intérêt des acheteurs. Et bien entendu, Georges Van Cauwenbergh n’avait pas l’intention de laisser cet objet lui filer entre les mains. Après avoir remarqué l’intérêt que François-Xavier Renou portait à l’objet, le nouveau venu clôt alors le débat. « 200 euros allez ! C’est un très beau poêlon », dit-il, en espérant remporter l’enchère. Ce qui fut le cas.
